Les enfants ne doivent pas être prit en otage lors d'une rupture de couple.
Les enfants ne doivent pas être prit en otage lors d'une rupture de couple.
On dit souvent que faute d'avoir réussi leur couple les gens veulent actuellement réussir au moins leur rupture. On en arrive ainsi à des impératifs paradoxaux où bien se séparer, finirait par signifier en quelque sorte rétroactivement qu'on a été un bon couple.
Ce qu'il faut éviter, ce n'est ni le conflit, ni les affects mêmes violents qu'une rupture génère. Il vaut mieux les mettre en mots que de les taire. Les reconnaître pour mieux les métaboliser.
En revanche, il ne faut pas prendre les enfants, s'il y en a, en otage. Réellement en les séparant de l'autre parent, ou psychiquement, en tentant de le détruire en eux. Car en s'attaquant au conjoint, c'est justement à cette part du parent dans l'enfant qu'on s'attaque et les effets en sont, pour ce dernier, particulièrement dommageables
Lors d'une rupture, quel qu'en soit le mode, tout le monde souffre, même s'il s'agit d'une rupture consensuelle. Mais il faut bien voir que le désarroi est des deux côtés, chez celui qui quitte comme chez celui qui est quitté.
Pour surmonter cette souffrance, il est utile de se faire aider, ne serait-ce que ponctuellement. Et de préférence par Celui qui a crée l'amour, c'est à dire Dieu.
plutôt que par des amis ou des personnes qui parfois sont célibataires ou peines à résoudre leurs propres problèmes de couple. Dieu seul restaure les cœurs brisés en amour
Souvent, inconsciemment, l'on va être attiré par une personne ressemblante, dans l'espoir que cette nouvelle histoire se termine bien. D'où l'intérêt d'une analyse qui permet d'éviter de reproduire les même schémas. Et de retomber dans les mêmes problèmes qu'avec notre EX.
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